Year | University Policies | University Practices | Student Union Policies | Student Union Practices |
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2020 | c | c | na | na |
2019 | c | c | d | c |
2018 | c | c | c | c |
The Université du Québec à Montréal (UQAM) mentions in their vision statement that they will “créer des espaces de dialogue et de communication, par la dynamique constructive de partage et d’échange qu’elle encourage.”
UQAM lists “la liberté académique” under their principes fondamentaux:
Le droit des membres de la communauté universitaire d’enseigner, de faire de la recherche et de la création, de communiquer le savoir et de diffuser la culture, en toute indépendance et à l’abri de pressions indues, qu’elles soient d’ordre économique, politique ou idéologique, constitue une condition essentielle à la réalisation de la mission universitaire.
Sans la liberté de recourir à un éventail diversifié de disciplines, de méthodes, d’approches, d’outils ou de contenus pédagogiques, scientifiques ou artistiques; sans l’hétérodoxie des idées, des courants de pensée et des pratiques de recherche ou de création; sans la pluralité des modes de production, de conservation, de transmission et de mobilisation du savoir; sans tout cela, l’université ne serait plus à même d’apporter ses contributions sur les plans de l’avancement de la science, de l’enrichissement de la culture, de la formation d’une relève citoyenne et du développement de la société.
La liberté académique implique toutefois des obligations et responsabilités. Elle doit reposer sur l’intégrité et la rigueur intellectuelle dans les activités de recherche, de création et d’enseignement, un discours raisonné, la recherche des faits et l’évaluation par des pairs. Elle doit être encadrée par des normes éthiques et professionnelles applicables aux diverses disciplines. Enfin, elle doit s’exercer dans le respect des droits et libertés des personnes.
UQAM’s Charter of Student Rights and Responsibilities (Charter) affirms UQAM students’ Charter freedoms:
Les étudiantes et les étudiants jouissent à l'Université des libertés fondamentales
reconnues par la Charte des droits et libertés de la personne telles la liberté d'opinion, la
liberté d'expression, la liberté de réunion pacifique et la liberté d'association.
The Charter contains a loose anti-disruption policy in Section V(13):
L'Université souscrit à l'importance de maintenir le bon ordre au sein du campus et
de procurer un environnement sain et sécuritaire à sa communauté universitaire de
façon à ce que les activités d'enseignement, de recherche et de création s'y poursuivent
dans un climat paisible, fécond et libre.
UQAM Politique no 28, Politique sur les relations interethniques, states:
UQAM disapproves and finds incompatible with academic life any and all behaviour qualified as racist, discriminatory or that could be considered as racial harassment based on origin, skin colour, religion, culture, ethnic affiliation, etc.
l’UQAM réprouve et déclare incompatible avec la vie universitaire toute conduit raciste, discriminatoire ou qui constitue du harcèlement racial pour motifs d’origine, de couleur de peau, de religion, de culture, d’appartenance ethnique, etc.
UQAM does not engage in ideological advocacy by way of a diversity office or similar body.
During the 2015-2016 anti-austerity student strikes, UQAM took proactive steps to stop violent protests and disruption from interfering with the normal activities of the university, including expelling students who were found taking part in these violent actions. The university also fought for an injunction by the Superior Court of Quebec to ensure that students could attend classes during a planned boycott led by UQAM’s student unions.
During the 2011-12 school year, the Quebec government announced that tuition fee increases would take place over the next five years. Starting in February of 2012, numerous student associations started boycotting courses. General assemblies, with only 10% to 20% of students attending, passed resolutions in support of the student strike. UQAM allowed students to use university facilities for these meetings in spite of the university being opposed to the student strike. However, many students could not vote, or did not wish to vote, at these meetings, and objected to the power of other students to suppress their right to continue studying.
To ensure “respect” for these votes in favour of the student strike, strike supporters picketed the entrances to classes, and disrupted classes in faculties which had voted against the strike. UQAM took no action to stop the picketing or disruption of classes.
UQAM does not have a single, central “students’ union”. There are seven faculties, each with its own student association, with membership ranging from 2,000 to 12,000 per faculty.
UQAM does not have a single, central “students’ union”. There are seven faculties, each with its own student association, with membership ranging from 2,000 to 12,000 per faculty.
In the 2018–19 financial year,* Université du Québec à Montréal received $306,989,000 in taxpayer dollars in the form of government grants. These taxpayer funds accounted for 71.1% of their annual revenue.
*Université du Québec à Montréal did not make their 2019–20 financial statements available by the time of publication of the 2020 Campus Freedom Index.